Latacunga-Cuenca, avec un petit stop à Riobamba avec l’espoir de voir d’un peu plus près le volcan Tungurahua en pleine éruption... Un peu raté, on a pas vu grand chose.
     La route de Riobamba à Cuenca est assez fatigante (6 heures de route, mais complètement défoncée par endroits, beaucoup de virages, passage de cols en altitude...). La route est par endroits taillée dans la roche, et les éboulements sont nombreux. Le phénomène climatique de «El Nino», en 1998, a fait beaucoup de dégâts. Bon, on ne s’est pas ennuyés quand même, les Indiens montant et descendant continuellement du bus, ça faisait de l’animation.
La ville est sympathique, propre ; quelques églises à visiter, le quartier colonial, quelques restes incas... et aussi le site d’Ingapirca.
LE SITE D'INGAPIRCA
     Un service de bus permet de se rendre à Ingapirca depuis Cuenca sans changement. Le bus part de la gare routière, il y en a notamment un à 9h le matin. Il faut pratiquement 2H30 pour s’y rendre, ce qui nous fait du 11h30 sur place. Pour repartir, le même bus à 13h30 ou bien le suivant vers 17 h.
Malgré le fait qu’Ingapirca soit le plus grand site inca d’Équateur, nous avons été déçus. 5 heures de bus dans la journée pour voir quelques restes (car il n’y pas grand-chose à voir en fait), ça fait long. Il est vrai qu’ayant déjà visité, il y a quelques années, le Machu-Picchu ou encore le site de Sacsahuaman, près de Cuzco, nous avons du mal à nous émouvoir devant ces quelques pierres qui nous semblent presque insignifiantes. Ah là là, jamais contents !!!

     Par contre, il peut être intéressant de visiter Ingapirca en l'incluant dans le trajet Riobamba - Cuenca, en faisant une halte. C'est sur la route. Ainsi, on ne s'y rend pas exprès depuis Cuenca et on ne bouffe pas du bus pour rien. Bon, allez, le site renferme quand même quelques curiosités du genre "baignoire de l'Inca taillée dans la roche" ou encore un "visage géant accroché à la falaise"...


BIANCA
ET
GUILLERMO

... petit souvenir d'une rencontre au milieu de nulle part...


PAYSAGE
ÉQUATORIEN

... avec ses cultures à flancs de collines, à perte de vue...

BAÑOS (retour)
HAQUILLAS (suite)
[ RETOUR ITINÉRAIRE ]...[ RETOUR ÉQUATEUR ]...[ RETOUR ALBUM ]...[ HOME-PAGE ]
NATHOU & NONO   -   © 1996-2002